"Parlons français puisque M. Juppé nous a donné l'exemple il y a quelques semaines: il est clair aujourd'hui qu'il y aura une moitié des électeurs de Jean-Pierre Chevènement qui sera politiquement cocue au soir du premier tour" a ironisé Philippe Séguin le 19 février sur France Info. "Aujourd'hui il n'y a pas de problème parce que chaque moitié pense que ça sera à l'autre que cela arrivera."